Ce monde n’est pas conclusion

Poèmes incandescents d’Emily Dickinson


Frédérique Bruyas
lecture – wall°ich diffusion vidéo

Poèmes extraits des « Cahiers Cousus », traduction originale de Christophe Marchand-Kiss
Musique originale de Vincent Brédif
Création vidéo de wall°ich

Emily Dickinson creuse la langue anglaise et invente une langue instable dans des rapprochements d’images et de notions contradictoires. Elle crée un no man’s land où peut s’installer un dialogue incessant entre réalité/illusion, création/destruction, joie/désespoir.
À partir d’une traduction originale de Christophe Marchand-Kiss, Frédérique Bruyas met en résonance les langues anglaise et française de quelques poèmes extraits des « Cahiers Cousus ». Envisagées dans un jeu d’ombre et de lumière les langues s’échangent les rôles, s’épousent, se suivent ou s’ignorent l’une l’autre. La musique élémentaire et organique de Vincent Brédif crée l’énergie vitale propre à chaque mouvement du poème. La création vidéo de wall°ich joue sur les croisements d’images de synthèse et de réalités (parallèles) à différents niveaux de transparence. Douze poèmes, comme autant de mondes possibles où la voix, la musique et l’image tissent un paysage mental sensible aux forces de création et d’anéantissement.

Wall°ichWall°ich
Né finalement par le siège, un 16 novembre à Paris, Wall°ich s’expose aux activités de faiseur « faisant d’art » depuis l’enfance.

Il est actuellement : Musicien de traîneau, Vocaliste rouge à l’ambitus hypertrophié, Sax-symbol au repos, Auteur réglable et limité, Plastichien de salon, Utopiste aux étoiles, Mais créant poli-violent, Multi-médi-homme, Soul-Fleurs, Vie-D-o-manne, …!
artitoo.free.frjaimececi.com

 

 

Durée : 1h